Athlétisme : à quelle fréquence s’entraîner ?
Le quotidien d’un sportif amateur est souvent très chargé : difficile parfois de concilier sa passion et ses obligations professionnelles, personnelles et familiales. Mais si tu fais du sport pour une autre raison que simplement te maintenir en forme, tu comprendras bien vite que la clé d’un entraînement réussi, c’est la régularité dans l’effort. Mais cette régularité n’est évidemment pas la même si tu es un sportif débutant ou confirmé. Comment alors se bâtir le meilleur planning d’entraînement possible pour obtenir les meilleures performances le plus efficacement ?
Quelle durée d’entraînement hebdomadaire est recommandée pour rester en bonne santé ?
Si l’entraînement sur la piste d’athlétisme a pour but de te faire progresser dans tes performances, il sert en premier lieu à garantir une bonne santé. Les premières heures d’entraînement chaque semaine vont en cela moins t’aider à améliorer tes chronos qu’à garantir une bonne condition physique d’ensemble et faire travailler ton métabolisme. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), on estime qu’il faut compter environ 300 minutes d’exercice à intensité modérée par semaine pour ne serait-ce que se maintenir dans une forme physique correcte. Il faut donc comprendre que les progrès n’apparaissent pas immédiatement par magie une fois que tu enfiles tes chaussures de running à pointes. Ce travail foncier reste indispensable et ce n’est qu’à partir de là que tu pourras envisager d’entrer dans une logique de performance sans te surmener. Si tu débutes dans n’importe quelle discipline, pas la peine de te frustrer ni de griller les étapes : une ou deux bonnes sessions d’athlé par semaine te permettront de progressivement trouver ton palier de performance afin d’espérer progresser correctement par la suite.
Un entraînement à intensifier progressivement pour mieux connaître son corps
Tu découvriras sans doute assez vite cela dit que deux séances par semaine d’une ou deux heures, ce n’est pas suffisant pour te pousser dans tes retranchements. S’il est important de ne pas se surmener au départ, la régularité des sessions reste le facteur majeur de progression. Une fois que tu t’es habitué à ton rythme minimal d’effort, il vaut mieux multiplier le nombre de séances d’entraînement hebdomadaire plutôt que de rallonger celles existantes. Pour résumer : il est plus efficace de faire de l’athlé trois, voire quatre fois par semaine pendant une heure que d’en faire une ou deux fois par semaine pendant trois heures. Un effort soutenu mais limité dans le temps et répété régulièrement sera toujours mieux assimilé par ton organisme, surtout pendant les nécessaires périodes de récupération. Au-delà de quatre à cinq heures d’exercice par semaine, la pratique sportive sort du simple entretien de la santé : c’est à ce moment-là que tu sentiras véritablement tes effets sur ta vitesse, ta force, ton endurance et sur tous les facteurs sur lesquels tu souhaites travailler. L’entraînement parfait dépend évidemment toujours de ton profil d’effort, de la charge de travail que ton corps peut accepter et d’autres facteurs personnels. Mais on estime qu’un planning d’entraînement exploitant correctement ton potentiel se construit autour de trois, quatre, voire cinq séances par semaine, sans les enchaîner consécutivement. Idem pour la récupération : pour conserver un bon rythme, il est souvent conseillé de ne pas se dispenser d’exercice plus de deux jours de suite.
Trop d’entraînement tue l’entraînement
Est-il possible cependant d’atteindre un stade où ton entraînement devient tellement soutenu qu’il en devient contre-productif ? En effet, user tes chaussures d’athlétisme trop régulièrement est tout sauf une bonne idée. Déjà, pas la peine de trop tirer sur la corde pendant tes sessions : il sera toujours mieux d’espacer correctement tes séances plutôt que de les faire durer plus que de raison. Bien sûr, il y a le risque de blessure, qui ne fait qu’augmenter à mesure que ton corps se fatigue sur la piste. Mais le surentraînement impacte également la récupération, et donc ton endurance et ton cardio sur le long terme. Le surentraînement, c’est aussi enchaîner trop de séances à la suite : six ou sept séances par semaine, c’est déjà trop pour bon nombre d’organismes, y compris chez les marathoniens et autres coureurs de fond, pour des gains souvent minimes. La gestion de la fréquence des sessions n’est qu’un des facteurs d’un bon entraînement, mais il fonctionne comme tous les autres : rien ne sert de trop en faire, l’important est de rester à l’écoute de ton corps et de ne pas vouloir griller les efforts. Et il ne fait pas tout si tu négliges à côté les autres facteurs : le contenu de tes entraînements, une bonne hydratation et alimentation, un bon rythme de sommeil…
L’un de ces facteurs bien sûr, c’est aussi l’équipement que tu utilises pour t’entraîner, comme tes chaussures à pointes d’athlétisme. L’entretien de tes chaussures à pointes, que ce soit de sprint, de demi-fond ou de saut, est aussi crucial que tout le reste. Alors si tu veux que tes pointes d’athlétisme restent les plus efficaces le plus longtemps, fais confiance à la sur-semelle Key One de Keyena, partenaire officiel de la Fédération française d’athlétisme (FFA). Déjà adoptée par de nombreux athlètes de haut niveau, la sur-semelle Key One te permet d’allier performance et confort pour limiter l’usure de tes pointes d’athlétisme en carbone et de te déplacer facilement sur et en dehors de la piste. Rejoins la Keyena Family et fais passer tes performances à l’échelon supérieur avec la Key One, sur-semelle made in France respectueuse de l’environnement.