Sport à la fois historique et moderne, l’athlétisme fait parfois beaucoup parler. Les idées reçues au sujet de l’athlé sont nombreuses, mais celles-ci ne sont pas toutes fausses ! On décrypte ensemble 10 grandes idées reçues sur l’athlétisme.
1. L’athlétisme est le sport le plus ancien du monde : VRAI
L’origine de l’athlétisme remonte aux premiers pas de l’homme, à l’ère du paléolithique inférieur (début de la préhistoire). L’athlé est ensuite codifié par les Grecs dans l’Antiquité, période où naissent aussi les jeux Olympiques antiques. De nos jours, l’athlétisme reste l’un des sports phares, si ce n’est LE sport le plus attendu à chaque édition des Jeux olympiques modernes.
2. On naît athlète, on ne le devient pas : FAUX
Les athlètes de haut niveau ayant démarré ou performé tard ne sont pas rares. Certaines personnes ont plus de facilités que d’autres depuis la naissance, mais c’est le travail qui forge l’athlète, quel que soit le niveau. À la pointe de l’athlétisme avant l’arrivée d’Usain Bolt, Carl Lewis est né dans une famille d’athlètes dont il n’était pas le plus prometteur. Il a démarré le saut en longueur à l’âge de 13 ans, et ce n’est qu’à 17 ans que son entraîneur de toujours l’a mis au sprint en compétition. Carl Lewis gagnera 9 médailles d’or olympiques en saut en longueur, sur 100 mètres, 200 mètres et 4 x 100 mètres.
3. L’athlétisme est un sport difficile : FAUX
L’athlétisme a parfois cette image de sport difficile, pas forcément très ludique. Comme tous les sports, l’athlé demande des efforts physiques, mais c’est une discipline qui trouve son origine dans les gestes naturels de l’homme : courir, lancer, sauter. Plus on pratique l’athlétisme, et plus on prend du plaisir à se dépasser. Pour t’aider à gagner en confort dans la pratique de l’athlé, tu as les Key One, les premières sur-semelles de protection pour pointes d’athlétisme, qui permettent de marcher normalement en dehors de la piste avec tes chaussures d’athlé (et pas sur les talons !).
4. L’athlétisme demande beaucoup d’étirements : FAUX
L’athlétisme est souvent assimilé à la nécessité de réaliser des étirements interminables avant et après les séances. Contrairement à la gymnastique où la souplesse du corps est primordiale, les étirements ont peu d’intérêt pour l’athlétisme. L’échauffement d’avant-séance ou compétition proscrit même des étirements. Ils sont seulement bénéfiques après l’effort, et sur des périodes très brèves (moins de 30 secondes), pour aider les muscles contractés à retrouver leur longueur de base.
5. Pratiquer l’athlétisme provoque des blessures à répétition : FAUX
L’athlétisme bien pratiqué n’est pas plus à risque qu’un autre sport. Seule une pratique excessive peut provoquer des blessures. La clé pour éviter les ennuis physiques est de maîtriser son activité. Par exemple, après des vacances, on ne reprend pas l’athlétisme avec une longue séance. Idem au niveau de la recherche de performance : elle doit être progressive, et ne pas conduire à un enchaînement démesuré de séances.
6. Faire de l’athlétisme est bon pour la santé : VRAI
À l’inverse, l’athlétisme est bon pour la santé. Sa pratique te permet d’améliorer ta santé cardiovasculaire, mais aussi de renforcer ton corps. Alors qu’une idée reçue prétend que l’athlé met à rude épreuve les articulations, sa pratique permet au contraire de les soulager grâce au développement de la masse musculaire. Niveau mental, l’athlétisme permet de s’aérer l’esprit et de s’oxygéner le cerveau.
7. L’athlétisme est réservé aux plus jeunes : FAUX
Sport universel par excellence, l’athlétisme peut être pratiqué à tout âge ! L’athlète française spécialiste des lancers Danièle Lamy, qui continue la compétition à plus de 70 ans, en est la preuve. L’athlé regroupe un grand ensemble d’épreuves classées en plusieurs familles : les courses, les sauts, les lancers, les épreuves combinées et la marche. Il y en a donc pour tous les goûts et pour tous les âges !
8. Faire de l’athlétisme à haut niveau demande beaucoup de sacrifices : VRAI et FAUX
Vie sociale inexistante, stress causé par la compétition et la recherche de performance, hygiène de vie, budget à prévoir… l’athlétisme de haut niveau peut être vu comme un grand sacrifice. Tous ces points négatifs peuvent en fait être facilement tournés en positifs :
- Il est possible de rencontrer en club ou championnats d’autres athlètes partageant la même passion.
- La recherche de performance apprend à se surpasser (ce qui peut être bénéfique au quotidien).
- Faire attention à son hygiène de vie est bon pour la santé.
- L’athlétisme fait partie des sports les moins chers, d’après le barème Le Pacte sportif de la Caisse d’Épargne (255 € environ par an pour la cotisation, la licence et les équipements).
9. L’athlétisme n’est pas un sport populaire en France : FAUX
D’après la Fédération française d’athlétisme, le cap des 300 000 licenciés a été atteint en mai 2022. Une performance confirmée par Europe 1 dans son top 10 des sports les plus pratiqués en France, puisque l’athlétisme se classe juste derrière le rugby. L’audience est d’ailleurs toujours au rendez-vous pour l’athlé à la TV ! Marque française, Keyena est fournisseur officiel de la fédération d’athlé.
10. Il est difficile de pratiquer l’athlétisme en France : FAUX
L’athlétisme peut se pratiquer dans 2 500 clubs en France. Il est aussi possible de démarrer l’athlé par des entraînements en forêt, dans les rues, ou sur les pistes de stade ouvertes au public. On trouve facilement en France le matériel pour pratiquer l’athlétisme. Le pays est même capable d’innovation dans le domaine, à l’image de la Key One de Keyena, première sur-semelle de protection pour chaussures d’athlétisme femme et homme : pointes de sprint, de saut en longueur, saut en hauteur… Intéressé par la Key One ? N’attends plus pour tout savoir sur la sur-semelle de protection innovante pour pointes d’athlétisme signée Keyena !